

Leçons de vie
Leçons de vie est le livre autobiographique du Conseiller de l'île de Ngazidja, Idi Bacar, paru aux éditions cœlacanthe. Un livre foisonnant d’anecdotes piquantes qui nous permettent de le suivre aisément et agréablement dans ses souvenirs. Il nous offre un témoignage intéressant sur son expérience politique, sa maladie, sa famille, ses proches et ses amis. C’est un livre qui se lit avec avidité et émerveillement, parce que c’est une autobiographie qui sonne vraie. Il savait


Sast présente son dernier roman à l’Afc de Moroni
L’écrivain Saïd Ahmed Saïd Tourqui (Sast) a donné une conférence de presse, jeudi 20 février à l’Alliance franco-comorienne de Moroni, près d’un mois après la sortie de son dernier roman, «Djinns et Sultans». Expérimentant un nouveau genre avec ce roman historique, ce passionné d’histoire a livré la genèse de son dernier-né. «Quand je présente des pièces de théâtre ici à l’alliance, je suis ému car ici, j’ai participé à des concours d’orthographe», a-t-il d’emblée annoncé. «J


Thoueïbat Djoumbé est devenue docteur en Lettres
C’est dans un restaurant parisien et dans une ambiance surchauffée que les amis de Thoueïbat Djoumbé ont fêté son accession au grade de docteur, vendredi soir. En effet, cette jeune femme plutôt discrète, née dans le village de Samba Bodoni et déjà mère de deux beaux enfants a soutenu sa thèse de Littérature Générale et Comparée à l’Université de la Sorbonne Nouvelle (Paris 3), mardi 4 février 2014. Si elle n’est pas la seule femme comorienne à atteindre ce niveau en Littérat


Interview. Salim Hatubou Au Japon pour parler de nos contes
L'écrivain Salim Hatubou était au Japon au mois de janvier, invité par l'Université de Tokyo pour parler des contes comoriens. Voici déjà quelques années qu'il est en contact avec un professeur de cette université et qu'il collabore dans la traduction de contes recueillis à Mwali. Au pays du soleil levant, l'un des rares écrivains comoriens qui publie régulièrement a échangé avec des universitaires et des lycéens sur les contes comoriens. D'autres collaborations en perspectiv


Sast : "Il n'y a pas encore un vrai romancier dans les quatre îles"
Question : Combien de livres sont nés de ce mariage entre Sast et la plume? Sast : (après avoir pris une gorgée de Coca). «Le crépuscule des Baobabs» en 2001, «L'Océan sera mon linceul» en 2003, ceci est un porte bonheur, car un an après, j’ai gagné le prix littéraire Mbayé Trambwé à Moroni, «Bilkisse la reine de Saba» en 2006, "Les berceuses assassines » en 2007, «Les Sultans chamailleurs" en 2008, «Le divan» en 2010, «le sang des volcans» en 2011 et «Djinns et Sultan» en 20