Anssoufouddine Mohamed,
En jouant au concert des apocryphes,
Coelacanthe, 2013, 59p.
Anssoufouddine Mohamed a su déjouer les pièges d’un sujet à la fois grave et dérangeant. Cette parole fracassante et corrosive n’imite pas une pérégrination des plus habituelles, elle place au coeur de l’impasse des absents, ces autres qui ont conscience des horreurs d’un temps où l’homme et l’animal se partageaient la même boue-dortoir.
En jouant au concert des apocryphes, le discours d’un biffage. Combat contre les ombres en nous pour comprendre comment les perversités de l’asservissement des hommes peuvent générer une forme de mémoire de l’occultation qui finit par se muer en revendications. Les coordonnées du processus d’écriture placent le lecteur devant ces manifestations de caractéristiques humaines, les moins avouables. (4e de couverture)
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10,00€Prix
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