Les moments forts des éditions Cœlacanthe
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Les Rencontres du Coelacanthe#15 (samedi 21 mai 2016)

Deux auteurs/deux livres. 
Avec Rafsandjani Mohamed nous parlerons de la Constitution comorienne. Tout le monde en parlait ou presque durant ces derniers mois d'élections. Le juriste d'origine comorienne éclairera notre curiosité et soif de mieux connaître des institutions qui ont stabililisé l'Etat depuis 15 ans, mais qui sont à chaque événement mis en cause par les acteurs politiques et le Comorien lambda, même celui qui n'a jamais lu un article de la Constitution de 2001..
Avec Abdourahim Bacari (PapaDjo), on renoue avec un exercice de la tradition occidentale : le pamphlet contre les dirigeants. C'est un exercice courant dans les palabres comoriennes, et notamment dans les réseaux sociaux. L'auteur de "Le Drame comorien" (Coelacanthe, 2015) est sans concession pour la classe politique comorienne qui a pris les rênes du pays depuis 1975. Il nous expliquera pourquoi.

Rafsandjani MOHAMED 

LA CONSTITUTION DES COMORES

ISBN : 979-10-91275-35-4
EAN : 9791091275354

Cœlacanthe 146 pages, Février 2016

La constitution des comores, expliquée et commentée article par article

La Constitution du 23 décembre 2001 est la Loi fondamentale du nouvel ensemble comorien post-séparatisme proclamé par les accords de Fomboni et baptisé : Union des Comores.
Rafsandjani MOHAMED analyse ici cette Constitution, en vigueur depuis maintenant plus de 15 ans, en expliquant article par article.

Abdourahim Bacari

Le drame Comorien

ISBN : 979-10-91275-27-9

EAN :  9791091275279


 

Le 6 juillet 1975, les Comores accèdent à l’indépendance. Libérés du joug français, le peuple et les dirigeants sont animés par un volontarisme certain et un fort amour de la patrie. Les espoirs de développer le pays et bâtir une belle nation sont grands.

 

Quarante ans après, qu’en est-il ? Le bilan est loin d’être glorieux. Archipel au bord de l’implosion, crises séparatistes successives, misère grandissante, santé déplorable, infrastructures inexistantes... La vie dans l’archipel offre peu de perspectives heureuses et nombreux sont ceux qui préfèrent émigrer dans l’espoir d’une existence meilleure, parfois en risquant la mort à bord des fameux kwasa-kwasa en direction de Mayotte.

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