La troisième session de « La Fête Coelacanthe », le 25 mars 2017, a tenu toutes ses promesses. Le public était plus nombreux que dans les années précédentes et le choix des artistes a été plus qu’apprécié.

 

La Fête a commencé cette année sur scène avec le Groupe Lah-Ka qui accompagne les Éditions Coelacanthe pour cette fête depuis 2015. Laher, Kassim et Komba Bellow ont enchanté le public pendant 20 minutes avant de laisser la place à Aminat Boina, la Directrice des Éditions qui a eu la charge cette année de faire l’ouverture officielle. Le Président, Mahmoud Ibrahime est apparu sur scène pour annoncer la création d’un nouveau prix : le Prix Coelacanthe Jeunesse et remettre un Prix Spécial Jeunesse à Mathilde Drault alias Edlihtam qui a publié un magnifique album basé sur une comptine comorienne et les tissus des femmes de l’archipel.

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La variété de la musique a été encore une fois au rendez-vous : le grand Soulaimane Cheikh est revenu cette année pour le grand plaisir de son public.

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Les jeunes musiciens comoriens qui évoluent en France étaient amplement représentés et ont suscité l’enthousiasme de tous : Anyssa, Niffay et Says’z ont fait vibrer le public.

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Sur le plan proprement littéraire les trois prix ont été remportés cette année par :

• Omar Mirali (alias Paul Maro) pour Le silence de l’être aimé (Prix Coelacanthe Littérature) ;

• Rafsandjani Mohamed pour La Constitution des Comores (Prix Coelacanthe Sciences Humaines) ;

• Halima Mohamed pour Tsandza (Prix Coelacanthe Shikomori).

 

La soirée a été animée cette année par Riwadi Said-Soilihi et Mohamed Aladine Himidi pour la première partie et pour la seconde partie Ismaïl Mohamed Ali et Thoueïbat Djoumbé.